Horaires et infos 2022-2023
Mercredi : 17h – 18h enfants dès 5 ans
Mercredi : 18h – 19h Ados
Mercredi : 19h15 – 21h15 débutant/ Intermédiaire
Lieu :
20 rue Jean Mermoz 74100 Annemasse (en dessous de chez Géant)
Les cours se dérouleront pieds nus (ou chaussettes), paréo et haut moulant.
La prof
Danseuse depuis l’âge de 3 ans, Vainui a remporté de nombreux concours et a naturellement intégré un groupe de danses traditionnelles. Son parcours l’amènera à enseigner aux plus petits comme aux adultes.
Venez découvrir – ou approfondir vos connaissances – la culture tahitienne et les bases du ori tahiti (traduction littérale de « danse tahitienne »).
Comme un petit rayon de soleil, du rire et du plaisir le temps de chaque cours, la danse tahitienne fait du bien!
Au-delà de l’aspect technique et sportif (tonifier son corps, s’assouplir et se détendre…), exercer le Ori Tahiti c’est pouvoir plonger au cœur des valeurs polynésiennes : générosité, tolérance, partage et joie de vivre. Danser c’est également et surtout exprimer ses émotions et s’affirmer.
La tradition de la danse en Polynésie française permet à toute personne de s’adonner à la danse,
Tout le monde peut danser, de 5 à 75 ans, et plus.
Les danses
Le aparima, est une danse expressive qui, grâce à un rythme moins saccadé, raconte et mime gracieusement une histoire vécue ou une légende à l’aide de gestes lents de la main. Pour illustrer une scène de la vie quotidienne, le aparima vava s’interprète assis, non chanté. Le aparima himene est dansé et chanté, accompagné de la guitare, du ukulele et du pahu. Pour cette danse, un « pareu » aux couleurs vives est porté en jupe courte ou longue. Des couronnes de tête et de cou en fleurs et/ou feuillages divers, complètent cette tenue.
Le o’te’a, la plus spectaculaire des danses Polynésiennes est dansé soit par un groupe de danseurs hommes (o’te’a tane), soit que par des femmes (o’te’a vahine) ou mixte (o’te’a amui). Il est en général inspiré des légendes locales et est caractérisé par les costumes des danseurs (‘more’ ou jupon en fibres végétales, coiffes, colliers, plumets). Les percussions accompagnant ces o’te’a sont les to’ere (tambour à fente en bois frappé avec une ou deux baguettes, du pahu (tambour en bois de tamanu dont la membrane traditionnellement en peau de requin était frappée avec les mains) et d’un faatete (petit tambour à membrane, percuté par deux baguettes à un rythme très rapide).